#févrierécrit : Ploum

Avec Anne-Lise, nous nous sommes lancé le défi de communiquer certaines de nos sources d’inspiration… tout en créant des liens entre nos blogs (le bout-rimé revisité)… durant tout un mois… pour partager notre fantaisie, nos mots et parfois nos clowneries. C’est aussi l’occasion de me défaire de la manie consistant à reprendre un texte des dizaines de fois avant de le publier.

Ne me demandez pas comment j’ai découvert Ploum, je ne m’en souviens plus. Une énième recherche sur Internet sans doute. Inutile de réclamer une once d’explication sur ce qui a retenu mon attention au début. Là aussi, impossible de retrouver l’origine de mon intérêt. Pas la peine de m’interroger sur les raisons de son site minimaliste sur le plan visuel, je ne m’en rappelle plus.

Ce qui est certain, c’est que depuis quelques mois, je lis certains articles de Ploum avec curiosité ; même si je ne comprends pas toujours tout. Il écrit quelquefois en anglais, parfois sur des trucs de codage. Dans les deux cas, je décroche. Alors, pourquoi commencer le défi #févrierécrit par cette source d’inspiration ?

Eh bien parce qu’il aborde régulièrement des sujets venant titiller mes neurones comme « Lettre de vos enfants et votre poubelle en 2050 » ou « Le cauchemar des examens ». Par ailleurs, il a été le déclencheur de ma récente « pause réseau » et il continue de m’inspirer quant au renouveau de mon positionnement sur le Net.

Ploum, c’est l’absent des réseaux sociaux. Il ne se cache pas, mais ce n’est pas le genre à poster une photo de sa tronche au petit déjeuner accompagné d’un « bonjour ! ».

Lorsque l’annonce d’un nouvel article atterrit dans ma boite de réception, c’est qu’il a quelque chose à exprimer et non un texte pondu à la va-vite « parce qu’il faut absolument mettre en place une récurrence » et pour nourrir des algorithmes. Son contenu est varié et j’apprécie sa capacité à mener une réflexion souvent grinçante par rapport à ce qui se passe sur la Toile comme avec « Comment j’ai été mis en vente sur le Web… à mon insu ! ».

Lionel Dricot (oui, il y a un patronyme derrière le pseudo) c’est un blogueur, un écrivain, un développeur et un enseignant. Il ne s’enferme pas dans une case et cela m’inspire pour peaufiner ma propre cohérence (j’y reviendrai certainement dans un autre article).

Alors bien évidemment, je ne me retrouve pas dans tous ses propos. J’ai passé l’âge d’être une groupie se laissant mener par le bout du nez, mais sa posture globale m’intéresse. Tourner le dos au système tout en se jouant de ses codes vient souffler sur les braises de certains traits de mon adolescence et ça me rajeunit !

Alors c’est certain, quand j’aurai terminé par PÀL, je lirai l’un de ses romans.

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